Vendredi 19 février 2010 à 20:04

Après mes péripéties mouvementées d'hier, qu'il faut absolument que je vous raconte par le fait, dans l'incapacité de mettre des chaussures à talons j'étais ce matin. Donc pour aller chez mémé, j'ai ressorti mes balerines. Wahou, j'avais oublié ce que ça faisait d'avoir les pieds sur terre ^^ Et déjà que je maîtrise la marche rapide sur talons, mais alors là, j'ai battu tous les records, j'aurais tué Julie en deux rues ^^.
Même que j'avais mis une robe ( courte ) et des colans ( pas épais ), et au début j'avais un peu frisquet, mais j'étais tellement en joyeuseté d'avoir les gambettes à l'air et les pieds sur terre que je suis rentrée de la gare à chez moi à pieds, et j'ai mis 30 minutes au lieu de 45 ^^ Quand je vous dis que je marche encore plus vite en balerine. C'était quand même chouette de pouvoir remuer les jambes, même si ma robe déjà pas longue remontait tous les 5 mètres, je me dis que je devrais envisager de ressortir robes et jupes ^^

Que je vous raconte mon aventure d'hier maintenant.
C'était l'aprèm, d'habitude, je rentre après les cours, et si j'avais su, j'aurais fait comme ça, sauf que là, je me suis dis c'est les vac, en plus j'ai toujours pas acheté mon dernier livre, pis il me faut des gants, et je voulais absolument des berlingots



Donc je suis allée en ville avec mon chéri et en arrivant place de la Rép à 2h15, qu'est-ce que je vois ? mon bus ^^ Ni une ni trois quart, je saute dedans. Tout ce passait bien, jusqu'à ce qu'on arrive à Champi et qu'une gentil agent de la circulation détourne le bus ( et les trois suivants ) sur le parking du collège, pour cause de pompiers en action dans la rue. Du coup, la circulation était coupée, et les bus bloqués. Bon, les gus qui habitaient pas loin, ils sont descendus du bus et ils ont continué à pied, mais tous ceux, comme moi, qui habitent à perpéte les oies, ils pouvaient difficilement en faire autant.

Au bout d'un moment, la gugussette qui conduit le bus nous dit que puisque les bus sont bloqués, ils vont faire demi tour, donc si on va de l'autre côté de l'incendi, on pourra avoir un bus qui va dans le bon sens. Sauf que pour aller de l'autre côté, bin on pouvait pas passer par la rue, il fallait passer par le parc. Plein de boue et de graviers. Je me tordais les chevilles tous les deux pas environ.
Bon, une fois de l'autre côté, on se dit chouette, c'est fini, mais que cuic ! Les bus nous avaient pas attendu, dès qu'on leur a dit faites demi tour, ils se sont carapatés tel un seul bus et nous on s'est retrouvé comme des demeurés pur beurre sur le trottoir, à se demander comment on allait faire pour repartir.

A ce moment là, une navette arrive et on se dit " chouette, on est sauvés ! ils ont eu notre SOS et ils nous ont envoyé un radeau de secour ! "
Que cuic. La navette, c'était une navette à la demande, venue chercher un pépé pour le ramener chez lui.
Retour à la case sur le trottoir.
Et là, une brave dame dit qu'on a qu'à aller prendre le train, il y en avait un dans 10 minutes. C'est gentil georgette, mais une fois à pompey, comment on fait pour aller plus loin ? Heureusement, la brave dame avait une voiture, et méga bonus, elle habitait la même rue que moi. Donc nous voilà parties avec une troisième gugussette, direction la gare. Et une fois à Pompey, re marche à pied pour aller à la voiture.
Et après toutes ces péripéties, je suis enfin rentrée chez moi. Il était 6h.

Vraiment, les bus sont nos amis, il y a pas à tortiller.

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