Vendredi 10 décembre 2010 à 20:13

Non, juste le nouveau sapin que papa vient de ramener, 100 % synthétique et 100% lumineux. Limite il transforme le salon en discothèque. Sans rire, il a des boules incorporées, et une méga étoile-boule disco tout en haut. C'est super wonderful und colorful réunis, j'adore.
Et puis j'ai testé mon nouveau four aussi, et il est chouette, bon, pas aussi bien que l'ancien, et pourtant c'est de la même marque, mais il est un peu trop " technologique " pour moi.

En ce moment, j'ai un peu l'impression de bosser à l'hopital des gens déprimés dans le service bleus à l'âme et autre coup de blues. Mais comme je suis particulièrement de bonne humeur en ce moment, je me dis que comme ça je peux en faire profiter les autres. La joyeuseté, c'est comme les graines de tournesol : soit tu les boulotes perso et seulabre dans ton coin, soit tu les sèmes et après c'est joli autour de toi. Moi j'ai choisi la deuxième option.



( ça me rappelle l'histoire de Jon, mais ça n'a aucun rapport ^^ )

Vendredi 10 décembre 2010 à 16:57

C'est presque mathématique, à Juliettaland, dès qu'il se passe un truc sympa sympa quelque part dans ma vie, ailleurs ça part en cacahouette. La preuve en live et en ce moment même.
Depuis quelques jours je suis super heureuse, genre Juliettaland a viré Wonderland, c'est la fête, youpi tralala comme dirait Mo.
Et puis bam, hier je me suis "disputée" avec quelqu'un qui a justement été le trop chouette avec moi ces derniers jours (et ça me rend franchement triste), et en cadeau malus, mon gros pépére est malade, mais vu que ça le rend hystérique de sortir, on peut pas l'emmener chez le véto (bon, apparemment, il avait l'air d'aller un peu mieux quand je suis rentrée, nonobstant il a pas apprécié le passage par la case baignoire).

D'un autre côté, les cours sont finis, ce qui pourrait être le trop chouette, si d'un autre autre côté (j'imagine assez bien ma vie ronde comme une sucette à la fraise au lait, ce qui fait que question nombre de côté, j'ai du choix) les partiels commençent lundi. Du coup j'ai fini de taper tous mes cours au propre cette aprèm, et il me reste encore mes fiches d'anglais à faire, et puis comme ça je peux commencer mes révisions sans perdre de temps (de toute façon j'ai même pas assez de temps pour en avoir à perdre, nonobstant, grace à Anaïs, j'ai une minute de rab tous les jours, mais elle est déjà utilisée ^^ )

Je sens que je commence déjà à stresser, même si j'imagine que ça sera bien pire après les vac. En plus, je trouve que le fait d'être heureuse me permet de suporter un peu mieux le stress.
Nonobstant, il y a une partie de moi qui est pas en joyeuseté rapport aux bidules cités en début d'article. Wish it would be better with time ...

Mercredi 8 décembre 2010 à 19:13

9h : petit déj avec céréales (et Fiona) devant la TV
9h30 : regardage de mail, occupage des souris, bimbo et autre gateaux
10h : essayage de fringues en vue de trouver la tenue que je vais porter demain, rapport au fait que c’est la dernière semaine de cours du semestre, alors il faut bien marquer le coup. Dans la foulée, vernissage des mes ongles
10h30 : cours d’anglais (avec Fiona qui dort tranquillement sur mes genoux)
11h30 : tentative de yoga
11h40 : en cuisine !
12h10 : arrivé d’un invité surprise : mon père est rentré manger ce midi
12h30 : café devant la tv
13h : séance de repassage
13h15 : ménage …
13h50 : c’est reparti pour les révisions !
15h : pause tisane
16h15 : c’est l’heure de gouter !
16h30 : de retour dans le résumer de l’Heptaméron
17h15 : séance de torture à base de bande de cire au monoï, potentiellement doulourogène comme affaire, mais le résultat est le trop doux
18h : crise de nerfs pour cause de trois heures de retard … (j’imite à la perfection le bruit de la gugussette à l’agonie, c’est même flippant tellement c’est réaliste) et expérimentation de la jalousie injustifiée mais quand même (et je déteste ça)
18h15 : occupation de la salle de bain
18h35 : prière au Père Noël : suis prête à renoncer aux cadeaux cette année si tu m’accordes une faveur. Suivie d’une prière à Bouddha : je dépoussière ta statue si tu m’accordes une faveur. C’est la même mais c’est pas grave, j’aurai pas de trop d’une double ration de chance
18h38 : naissance d’une idée folle dans mon cerveau complètement sans dessus dessous en ce moment
18h50 : en mode qu’est-ce qu’on boulote ce soir ?

19h13: postage de l'article

Lundi 6 décembre 2010 à 19:36

Si vous vous demandez le pourquoi du titre, c'est juste que j'ai regardé Twilight pas plus tard qu'il y a quelques soirs et j'aime beaucoup ce passage.

Aujourd'hui c'est ... de la folie.
3h de sommeil au compteur, je marche aux endorphines et à la caféine depuis ce matin (sans oublier l'odeur du pain au chocolat chaudement sorti du four).
Mes cheveux sentent la noix de coco, pour une fois mes ongles ne sont pas peints.
J'ai glissé en descendant du RU, et ça m'a fait rire.
Perdue dans mon grand pull j'ai l'impression d'être dans un cocon, de flotter dans une bulle.
Mon partiel de littérature contemporaine est passé, et s'est bien passé.
Je pourrais m'enrouler trois fois dans mon écharpe, mais alors je risquerais le trépas par étouffement, or et par le fait, à part si je fais une crise cardique, je prévois pas de mourir pour le moment.

Life is so sweet...

Dimanche 5 décembre 2010 à 17:27

Finalement, j'ai fini par faire le grand ménage dans mon album photo. Par le fait, ça va faire un an que j'en ai plus mis dedans, il serait temps que je m'y remette, surtout que je dois refaire tout mon album maintenant qu'il y a des trous partout. J'ai enlevé toutes les photos dont je ne voulais plus, je ne les ai même pas regardées, je les ai déchirées et hop, rendez-vous à la poubelle, ne passez pas par la case souvenir. J'en ai retrouvées que j'avais cachées dans la boîte où sont rangés mes petits albums. Qu'est-ce que le point de les avoir mis à l'abri ? Comme si un jour j'allais les ressortir et les remettre dans leur cadre.
J'ai aussi pensé aux cartes postales, elles ont suivi le même chemin que les photos, ceci dit, c'est plus dur de déchirer une carte postale qu'une photo. Rapport à la dureté du papier, pas à ce qu'il y a dessus. Par le fait, je les ai même pas relues, elles ont directement rejoind le tas de bouts de papier dans la poubelle.
Voilà, maintenant c'est fait. Il était temps, quand même. Mais mieux vaut tard que jamais.

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