Dimanche 31 octobre 2010 à 17:23

Aller, aujourd'hui, c'est la fête, vous aurez droit à deux articles, peut être même trois tellement j'ai de chose à raconter (mais en vrai, je mets un sujet par article, pas trois trucs différents dans trois articles différents, sinon je vois moyen l'interêt de me fader trois articles quand je pourrais faire du trois en un). En vrai il y a des trucs qui sont liés, pis d'autres pas, mais je vais pas commencer à vous égarer dès l'intro, sinon à la conclusion, je parlerai dans le vide (ceci dit, avec l'echo, j'aurai l'impression d'avoir de l'auditoire en face de moi, alors que trop pas).

Bref, le premier article c'est à propos d'un truc dont probablement une grande partie de la population locale se fiche comme de l'an 40 (d'ailleurs dans J'habite dans la télévision, la gugussette explique d'où vient l'expression, ça a rien à voir avec le sujet du livre, mais c'est chouette quand même comme info), à savoir ... mon histoire de Père Noël.

Le point qu'à un moment, hier, j'ai eu un méchant doute, et c'est pour ça que je t'ai posé la question, Emil, parce que je pensais que tu avais fini par percer le secret de l'énigme mystérieuse. Mais que cuic. Dans un sens, ça me rassure, Mais de l'autre main, si t'avais trouvé toute seule, ça aurait été chouette parce que je n'aurais rien eu à blablater. Ce que je ne compte pas faire, par le fait. C'est psychologique, je peux rien dire sauf si vous trouvez par vous même (non non, je ne suis pas compliquée, comme fille).

Ce qui est "drôle" dans cette histoire, c'est que finalement vous savez déjà tout, mais vous ne vous en rendez même pas compte. D'où ma suspicion que l'identité de P.N. ( rien à voire avec une éventuel cousin de mon cher P.C. dont je compte écrire bientôt la suite des aventures) ait été découverte.
Je ne sais pas si tout ça vous aide beaucoup (peut être qu'un jour je me déciderai à cracher ma valda calmement und proprement, mais vu comme ça me met le nerf en pelote, c'est pas pour aujourd'hu).

D'un autre côté, si vous ne trouvez pas qui est P.N. und le sens de ma comparaison, c'est pas un drame en soit, vu que le secret restera entier et ça m'évitera l'embarras und tout ce qui s'en suit, étant donné qu'il y a de grande chance pour que P.N. en ait que cuic à faire de moi. Au mieux il me prend pour une fille gentillement givrée, au pire pour une démente certifiée conforme. Dans tous les cas, les chances pour que je lui inspire autre chose que de la cuicuitude sont proches du niveau de la mer, donc.
Par le fait, c'est mal fichu, l'attention que me porte les gens est pas proportionelle (en clair, je préférerais être considérée par quelqu'un d'autre que par le débile en cabriolet jaune de ce matin, à tout hasard).

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