Samedi 16 janvier 2010 à 9:57

Que cuic, c'est n'importe quoi ce proverbe, si ton emplois du temps avait atteind et même dépasser le seuil de merdicité autorisé avant la nuit, il aura pas changé le lendemain matin. En résumé, hier, j'ai passé ma soirée à me prendre la tête avec julie ( on s'est pas pris mutuellement la tête, c'était plutôt on s'est prises la tête pour le même truc, devinez lequel ) pour arriver à un emplois du temps qui ne ressemble plus au premier. J'ai du abandonner toutes mes options, et franchement, lacher le professorat des écoles, sachant que c'est un peu ce que je veux faire plus tard, je l'ai pas encore digéré. Et adieu mes jeudi aprèm avec Aurélie ( je lui avais déjà annoncé la bonne nouvelle, ça va être sympa maintenant de lui dire que finalement, bin non, on se verra plus, et aller manger au chinois, même pas en rêve ma cocotte ). Je suis écoeurée.

Soit disant que des heures de cours se chevauchaient, bin je vois pas où. Et maintenant, j'ai vraiment la trouille de recevoir un autre mail nous annonçant joyeusement que les heures de cours ont encore changé, aller, recommencer à galérer pour trouver des autres options nulles, il y a que ça de toute façon, vous avez l'embarras du choix. Soit disant que la nouvelle maquette est " mieux " parce qu'on a " plus de choix". Que cuic. C'est que des fadaises tout ça.

En fait, j'ai même l'impression que de semestre en semestre, on gagne en merdicité... vivement l'année prochaine, trop pas

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