Samedi 26 juin 2010 à 9:32

J'étais censée faire un gros dodo cette nuit, accessoirement accompagné de jolis rêves et me réveiller en forme pour ma semaine de stage et tout. Mais que cuic. Pourquoi je ferais les choses simplement quand je peux me compliquer la vie et me torturer l'esprit ?
J'en avais assez d'attendre une réponse à ma lettre, alors j'ai pris la biquette par les cornes et j'ai envoyé un message à son propriétaire pour avoir l'accusé de réception et par la même occasion une réponse.
Du coup, toute la nuit j'ai dormi bizarrement en rêvant de toutes les réponses possibles et imaginables de la plus chouette à la plus terrible. Et à chaque fois que je me réveillais, j'essayais de me convaincre qu'il n'y avait aucun message sur mon portable et qu'il vallait mieux que je dorme. Le point est que j'aurais pu simplement prendre mon portable pour vérifier. D'un autre côté, je me dis que là, j'aurais vraiment pas fermé l'oeil de la nuit.

Parce que par le fait, réponse il y avait. J'ai craqué à 7heures du mat et j'ai vérifié mes messages. J'avais un message.
Là vous m'auriez dit " mets-toi debout et marche ", je me serais cassé la figure en beauté parce que j'étais en surtension générale, genre tous les membres qui grelottent, le coeur qui bat comme s'il allait sortir de ma poitrine ( ça aurait fait un peu désordre, un petit coeur sangignolant qui se balade dans mon lit ), l'estomac qui fait des tortillons comme dirait Emil, à mi chemin entre les papillons et la lave en fusion, bref la totale.
J'ai quand même réussi à ouvrir le message. Et à le lire 3 fois.

Le point est que c'est une réponse qui n'en est pas une. Certes, méga bonus, j'ai eu une réponse, plutôt gentille je dois dire, je m'attendais à un truc plus froid ou faché. Mais méga malus, cette réponse ne me satisfait absolument pas.
Bon, ok, c'est moi qui ai fichu la pagaille, donc j'imagine que je ne peux m'en prendre qu'à moi même.
En même temps, je me dis que peut être j'ai la possibilité d'arranger les choses ( ou pas, si ça se trouve, je vais juste empirer le truc et comme dirait PA, j'aurai plus qu'à aller me pendre ( ceci dit, ça doit être douloureux, je préférais trepasser d'une over dose de chocolats au somnifère, mais tel n'est pas le sujet du jour, ni même mon futur projet pour ce que je veux faire du reste de ma vie ) ). Bref, je me dis que j'ai peut être une minuscule chance d'arranger les choses, même si je dois attendre, je m'en fiche, je sais ce que je veux ( enfin ), et je suis prête à tout pour l'avoir. Et si j'ai vraiment ne serait-ce qu'une minuscule petite chance, je vais m'accrocher très fort à elle.

En attendant, je regrête encore plus ce stage à la noix. J'aurais du annuler quand le gus a commencé à me sortir qu'on devait changer de crèche la première fois ( surtout que ça m'aurait couté moins cher ).

En ce moment, je suis un peu moins en surtension générale, nonobstant, j'ai toujours le coeur qui se prend pour une formule 1 et les mains qui sucrent les fraises ( j'adore cette expression ) et je vais aller faire du vélo pour me calmer un peu. Surtout que vu que je pars dans quelques heures, j'ai décidé de tenter le tout pour le tout, par le truchement d'une possible conversation téléphonique. Mais comme il est un peu tôt, je dois attendre et je déteste ça.
Si jamais j'ai le temps avant de partir, et surtout si je suis en humeur pour ( ça dépendra de l'issue de la possible convers téléphonique à fort potentiel chouettogène ou déprimogène ) je vous donnerai des news de l'état des choses.
Si ça vous interresse.
On verra.
Que sera sera
Croisons les doigts.

Aucun commentaire n'a encore été ajouté !
 

Ajouter un commentaire









Commentaire :








Votre adresse IP sera enregistrée pour des raisons de sécurité.
 

La discussion continue ailleurs...

Pour faire un rétrolien sur cet article :
http://lisaewilan.cowblog.fr/trackback/3012449

 

<< Page précédente | 1 | 2 | 3 | 4 | 5 | Page suivante >>

Créer un podcast