Jeudi 17 septembre 2009 à 18:18

Je veux pas parler de mes deux heures de conduite de ce matin, parce que ça, c'était juste la cata. Plus je prend de leçon, pire c'est, ma monitrice sait plus quoi faire, la semaine prochaine j'en serai à 20 heures ( soit presque la moitié du nombre d'heures qu'elle avait prévu au départ ) et j'ai toujours pas passé l'étape qui est grosso und modo : réussir à faire rouler sa voiture droite dans les lignes droites et tourner dans les tournants.


Du coup, vu mon moral au raz des paquerettes, j'étais encore plus motivée pour sortir faire du vélo cette aprèm. Je suis retournée au chemin dans la forêt et j'ai passé 10 minutes à monter, c'était dur ^^. Et au bout de 10 minutes, je tombe sur un camp de caravane, avec plein de chiens dont deux petits roquets en liberté. D'habitude, j'aime bien les chiens, je leur dis bonjour. Mais ces deux là avaient pas l'air ravis ravis de me voir. Ils se sont mis en travers du chemin en aboyant, alors je me suis dis je vais attendre, ils vont peut être se calmer quand ils comprendront que je veux juste passer sans les déranger. Mais que cuic. Obligée de faire demi tour je fus, et tout doucement pour cause de petit hargneux à mes basques. Par le fait, dès que j'ai eu le dos tourné, le petit en question s'est mis à me courser, il était juste à côté de moi et j'osais pas pédaler parce que j'avais un peu peur qu'il me chope le molet. Heureusement, c'était en descente donc j'ai fini par le semer. Ouf.
Pis je me suis bien éclatée dans la descente ( mais au bout de deux minutes, c'était déjà fini ... )

A près ça, je suis allée me balader ici und là und par là bas, et je suis tellement partie loin que le retour, c'était dur. Surtout quand je suis dans une montée bien montante, que je rame comme une malade et qu'un bus me double et se rabat devant moi en me coupant la route. Je vous dit pas comme j'ai pilé. Obligée de descendre du vélo et de terminer la monté à pied, il m'a coupé dans mon élan cet idiot.


Et me voilà rendue chez moi, en attente de toute la famille und de mon chéri et pendant ce temps, je gèle tranquillement. Dans l'impossibilité de quitter ma vieille veste polaire je suis même si c'est pas super glam, m'en fiche, j'ai trop froid. Nonobstant, le termomètre déclare les 23 degrés ( mais il est à côté de ma bougie, c'est peut être pour ça ). Je comprends pas pourquoi j'ai aussi froid, c'est pas humain ^^ Pourtant, dehors, en plein vent, j'avais pas froid. le mystère de Julietta ...

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