Donc j'ai repris ma petite vie d'étudiante en medecine là où je l'avais laissée : a savoir sur un banc en bois qui fait mal aux fesses au bout de trois heures, callée entre une fille qui comprend pas que le bord de ma table n'est pas un repose tête ( apparement elle doit pas être sensible de la tête, elle met des coups dans mes feuilles mais elle a pas l'air de le sentir, étrange, un nouveau prototype d'humain sans sensiblité crânienne ? je vois pas l'interet, mais bon ... ), un boulet a qui j'ai réussi à faire suffisament peur pour qu'il s'éloigne un pe( malheureusement pas assez pour me dispenser de ses chansons ) et deux pimbèches prétentieuses, snobs et totalement écervellées. Mais voyons les choses par leur bon côté, j'ai Aza à ma droite et Anne à ma gauche, et ça, il y a aucune raison que je m'en plaigne, bien au contraire, la vie dans l'amphi mais semblerait sûrement insupportable sans elles.
Et bien sûr, après ce (trop ) court week end de 4 jours, le retour de notre fameuse question à laquelle personne ne peut trouver d'autre réponse que notre célébre " RIEN !" : " Mais qu'est-ce que je fais ici moi ? "
Pour ajouter une déco sur ce magnifique gateau de joie qu'est la fac en ce moment, mon très cher ami ( prenez le dans le sens où vous le voulez, tant qu'à faire sans vous faire d'idées ) Pierre Alain me fait, je cite " à moitié la gueule ". Logiquement, à ce jeu là, c'est moi qui gagne, mais bon, je ne suis pas d'humeur à jouer cette fois.
C'est vrai que dit comme ça, ma vie à l'air d'une réjouissance folle, mais en réalité, je suis sûre que c'est la faute du temps ^^ s'il faisait un peu plus beau, je parie que ça irait mieux ^^ ( et oui, cette célèbre théorie selon laquelle mes humeures dépendraient du temps )