Vendredi 12 juin 2009 à 17:32

ca y est, ma mère a fait sa petite crise, elle est contente, elle a fait son cinéma, elle a bien embêté son monde et maintenant, elle imagine qu'on va tous faire comme s'il s'était jamais rien passé, comme si tout allait bien dans le meilleur des mondes. Bin compte la dessus. D'ailleurs, cacao sur le cappuccino, je crois qu'elle a pércuté que de mon point de vue perso, c'était niet, je suis en rogne et je le reste, du coup, bin elle se permet d'être elle même fachée contre moi. Non, mais franchement, qu'est-ce qu'elle espérait ? Que j'allais rentrer avec un joli bouquet de fleurs et lui demander si elle allait mieux ? Faut qu'elle arrête de rêver.
Oui, je sais, dit comme ça, ça fait vraiment la fille pas sympa, mais trop, c'est trop. J'imagine que pour n'importe quel quidam créchant dans une famille un tant soit peu normal c'est incompréhensible, mais moi j'en ai raz le bol de ce cirque.
En plus, j'ai l'impression d'être totalement prise au piège, parce que quoi que je fasse, quoi que je dise, je sais que j'aurai tord, que je m'en prendrai plein la figure ou que ça ne fera qu'empirer les choses. La seule solution que j'ai trouvé, c'est de me pseudo enfermer dans ma chambre en espérant que quelqu'un finisse par se rendre compte que j'ai décidé de cesser toute communication tant que personne n'aura rien fait, ce qui, grosso modo, veut dire que je peux très bien passer le week end à ruminer dans ma chambre sans que personne le remarque. Tant mieux.

Parlons d'autre chose ... j'ai eu mon partiel d'anglais aujourd'hui et, évidement, il y a qu'une crétine qui se fait mal indiquer son amphi, ça tombe sur moi. Que je vous explique : devant les amphis, il y avait une table avec une quidamette, que j'ai bien envie de nommer Greluche the first. Bref, la gugussette était censée dire aux gens où ils allaient : soit à droite dans l'amphi déjà ouvert ( dans ce cas là elle disait rien en fait ) soit à à gauche, dans l'amphi encore occupé et dans ce cas, elle disait aux gens de se mettre sur le côté. Mon tour arrive, Greluche the first dit que cuic, j'en conclue que je vais à droite. Sauf qu'au moment où on a distribué les sujets, j'étais la seule à pas en avoir. Me voilà donc partie pour mon amphi. Où se trouvait justement Greluche the first. Qui trouve rien de mieux à me dire au moment où j'en étais déjà au trois quart de ma trad qu'il fallait sauter des lignes. En plus, elle ose ajouter " c'est pas votre premier partiel pourtant, vous devriez le savoir ! ". Le négatif, je me souviens plus de mon partiel qui date de janvier, qu'est-ce que tu crois, que j'ai une mémoire de pachyderme ?

Et oui, c'est comme ça des fois, ma vie penche sérieusement du côté de la merdicité agravée soupoudrée de désespérance.

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