C'était aujourd'hui que je devais retourner à l'hopital pour passer une dernière radio de contrôle. Déjà que je n'aime pas aller à l'hopital, mais, là, franchement, j'ai été servie: je me suis fait balader de service en service.
Déjà, j'arrive avec maman, le secrétariat est fermé, youpi. On monte se renseigner au troisième étage, là où j'étais à l'hopital, une infirmière nous dit d'aller en radiologie, donc on redescend. Arrivées en radiologie, on nous dit que le service a été transféré dans un autre batiment, du coup on sort. Et là il faut se fader tout le tour des batiments, pour arriver devant des immenses escaliers. Et repasser par la case secrétariat général, qui nous revoie à la case secrétariat du service de pneumologie. Qui m'envoie au secrétariat du service d'imagerie, qui n'ouvrait qu'à 14h, sachant que j'avais rendez vous à 13h45 (il y avait un gus qui avait carrement rendez vous à 13h30 ... ).
Bon, je passe une radio, et j'aurais pu me dire, chouette, j'ai fini, je peux rentrer, mais que cuic. On retourne en pneumo pour que j'aille en spirographie. Rien à voir avec les rosaces, il fallait que je souffle dans un bidule. Et à chaque fois la gugussette devant son écran me disait " on vide ses poumons, aller, encore, encore, encore plus " alors que j'étais déjà sur le point de les recracher, mes poumons. J'avais envie de lui dire " non, mais Jacqueline, je sais pas si t'as remarquée, mais je suis pas grande, mes poumons sont proportionnels à ma taille hein ". Pis la gugussette me mesure ( je faisais plus que 1m61.5, alors que quand c'est maman qui me mesure je fais un peu plus de 1m62) et me pèse, la bonne blague, sur sa balance je pesais 47kg5, moins les fringues, on arrive quand même à 46kg5, alors qu'en vrai, j'en fais deux de plus. Mais si ça fait plaisir à Jacqueline, on va pas la contredire.
Et là encore, j'aurais pu me dire que c'était fini, mais le négatif, troisième partie des réjouissances: consultation avec la docteuresse.
Qui remet le couvert rayon combien je pèse, je mange correctement, j'ai repris du poids, blablabla ... Et qui m'annonce joyeusement qu'un jour j'aurai peut être de l'asmthe, on sait jamais, alors dès que je toussote un peu je file chez mon médecin (je lui ai pas dit qu'il m'en faudrait beaucoup plus que ça pour que j'aille chez le médecin, on va pas la contrarier, elle non plus). De toute façon, toute la consultation elle avait l'air quasi désespérée que je tousse pas, que je sois pas essoufflée, que j'ai mal nul part, bref que je sois en pleine forme.
Après tout ça, enfin, j'ai pu rentrer. Ouf.
lisaewilan
Mon chez moi
Mardi 12 octobre 2010 à 18:58
Commentaires
Par le Mardi 12 octobre 2010 à 20:06
j'en tremble déjà ^^ tu veux être la réalisatrice ? Ou bien ta soeur, je suis sûre qu'elle serait parfaite pour ça ^^
Par le Mardi 12 octobre 2010 à 20:07
c'est qui L.R. au fait ? Lizou ?
Par le Mardi 12 octobre 2010 à 20:18
Haaaaaa ouais LR en Jacqueline !
C'comme la Maison qui rend fou dans les Douze Travaux d'Astérix =D
C'comme la Maison qui rend fou dans les Douze Travaux d'Astérix =D
Par le Mardi 12 octobre 2010 à 20:51
Une douzaine de centimètres de plus que toi, parfait ^^
En tout cas tu en es mieux sortie que la première fois, rien que ça me ravit :)
Essaie de ne plus y retourner maintenant XD
En tout cas tu en es mieux sortie que la première fois, rien que ça me ravit :)
Essaie de ne plus y retourner maintenant XD
Par le Mercredi 13 octobre 2010 à 9:09
Ca m'a fait penser à la même chose Emil^^.
Allez ça y est les mésaventures sont terminées !
Allez ça y est les mésaventures sont terminées !
Par le Mercredi 13 octobre 2010 à 13:12
pauvre joule... jcomprends vraiment pas pourquoi t as fait medecine lol
Par le Mercredi 13 octobre 2010 à 13:39
c'est aussi ce que je me demande, surtout que maintenant, je sentirai plus jamais l'odeur du désinfectant de la même façon ^^
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"Julietta et le labyrinthe médical infernal - d'après une histoire vraie : alors qu'elle se promenait gentiment dans les bois, la pauvre Julietta se retrouve piégée dans un hôpital sorti de nulle part et est destinée à errer à jamais d'un bureau à l'autre, harcelée par des infirmiers hystériques et pointilleux. Pourra-t-elle échapper à ses tortionnaires ? Saura-t-elle vaincre l'infâme Jacqueline et sa terrible balance qui allège les gens pour les forcer à manger et manger jusqu'à ce que mort s'ensuive ? Une histoire pleine de suspense et de rebondissements.
Avec dans les rôles principaux : J.S. (Julietta) et L.R. (Jacqueline)."